samedi 18 février 2012

Darkover on TV: Check!


Bon.
Les fans de Darkover aka Tenebreuse (de Marion Zimmer Bradley), accrochez vous bien à votre culotte.
Car sachez le, nous verrons bientôt la belle planète au soleil sanglant sur nos petits écrans!

Ilene Kahn Power et Elizabeth Stanley ( Traffic, Roswell, Stalin ) viennent d’acquérir les droits d’adaptation du cycle de Ténébreuse.

Non mais YEEEEEEEEAAAAAAAAAAAHHHHHHH! \o/
*cris de joie, explosions de pétales de roses, agitations des pompoms, etc etc*


Les anglophones, c'est la

La romance de ténébreuse, c'est quoi à la base?
C'est une série de 26 volumes, couvrant 2000 ans d'histoire, de la découverte de la planete et sa colonisation, a sa redécouverte 2000 ans plus tard par la Terre, le contact ayant été perdu durant des millenaires pendant ce temps.
On y suit un peuple de type médiéval gouverné par une caste dirigeante (7 domaines) à majorité rousse, détenteurs de pouvoirs psy héréditaires.
(ce blog étant a la base sur les séries TV, plus d'info LA)

Et Ouais. Le roux va être à la mode, les filles!
Bref, même si je trépigne d'impatience, et que j’appréhende un poil aussi l'adaptation tant l'histoire est complexe et étalée dans le temps (et que bon Roswell comme référence...), voilà une bien bonne nouvelle!

A quand une adaptation des Heraults de Valdemar ou de la Ballade de Pern? *__*

mardi 14 février 2012

Once upon a time #12 - Skin Deep

  
Comme promis, un petit résumé de l’épisode 12, que j'attendais si fort en frétillant du croupion.
(normal; Belle et la bête version Rumpelstiltskin, je ne pouvais qu'applaudir.)

Ne voulant pas trop spolier, sauf si vraiment on me supplie (oh oui, suppliez moi!) je ne ferais qu'un bref résumé de l’épisode mais vous livrerais derrière mon avis.

Résumé:
Dans notre monde, Mr Gold se fait cambrioler, et manifestement voler quelque chose de très très précieux pour lui. L'auteur, un vendeur de roses a qui il a piquer le camion suite a un accord non tenu.
Celui si semblant bien décidé à faire justice lui même se fait surveiller par Emma.
En parallèle, les "filles" de la série, (aka M.Margaret/Ruby/Ashley) se font une soirée nana pour la st valentin.




Oui, les soirs de St Valentin, je me promène souvent avec du scotch et du câble...

Dans le monde des contes. Belle, dont le pays subit une guerre contre des ogres, accepte de servir de gouvernante et de partir servir rumpelstiltskin dans son château en échange de la sauvegarde de son village.
Entre les deux se noue, au fil des semaines une amitié, voir quelque chose de plus fort, vite mis a mal par la reine, histoire qui va laisser beaucoup de blessures chez chacun.

Voila.


(oh que j'aime son demi-sourire genre "j'te prépare une grosse crasse de derrière les fagots")


Raaaaaahhh! <3

Donc, mon avis. * attention, spoiler inside*


Y'a tellement de choses à dire dessus. Tellement de réflexions qui décantent de cet épisode.
Cet épisode mon confirme mon attachement à Rumpelstiltskin.
Ok c'est Carlyle donc de base je ne suis pas objective, mais laissant cela de coté, j'accroche vraiment avec ce personnage qui prends ici une dimension tragique.
On y voit un Rumpelstiltskin touché à travers sa carapace épaisse par cette belle, plus humain, plus... gentil.
On le voit dans sa vie de tous les jours.
On y voit un Mr Gold beaucoup plus humain qu'il n'y parait et toujours aussi meurtri de son passé.
On y a la confirmation de ce qu'on supputait déjà, à savoir qu'il se souvient parfaitement de qui il est.

On comprends d’où vient la haine existante entre lui et la reine, et croyez moi, elle e st bien présente!
On se dit aussi, surtout en voyant la fin, que la reine est vraiment une connasse, et est absolument machiavélique.

Voix de Regina: "hin hin hin"

Disons le franchement, dans cet épisode, Rumpelstiltskin est franchement mis ) mal. Il morfle sévère.
On se prends à avoir pitié et à avoir mal pour lui, et surtout ON LE COMPRENDS.

On se dit aussi que finalement, cette vie dans notre monde doit plus lui convenir. Car après tout comme il le dit lui même à Belle, en tant que Rumpelstiltskin, il "n'est pas humain".
Or, dans notre monde, il garde sa richesse et sa puissance, mais REDEVIENT humain. (la preuve étant le fait qu'il retrouve son infirmité tout ce qu'il y a de plus humaine.)

Il y aurait encore tellement à dire sur cet épisode.
Mais le fait est que je l'ai totalement adoré.
Emilie de ravin étant ajouté au cast, j'attends avec impatience un épisode de retrouvailles entre les deux personnages.

The River - S01 E01 & S01 E02 - Pilotes



ABC vient de lancer The River pour surfer sur le phénonème Paranormal Activity. Et pour cela, ils ont recruté son créateur, Oren Peli.

The River est donc une série d'angoisse, filmée caméra au poing, dévoilant un groupe de personnes parcourant la jungle amazonienne à la recherche d'un célèbre aventurier à la TV, le Dr Emmett Cole, ayant disparu lui et son équipe, quelques mois auparavant. Ce groupe est mené par son fils et sa femme, et ils vont très vite affronter d'effrayantes rencontres surnaturelles au fil de leur recherche et de la rivière.

On retrouve donc très vite l'ambiance "Paranormal Activity" en misant sur une narration quasi-exclusivement filmée par des caméras (caméras au poing, caméras du bateau "Magus", flash backs tirés des émissions du Dr ou de ses propres bandes vidéos) et une ambiance oppressante. Et cela fonctionne plutôt bien, je me suis surprise à rire nerveusement (comprendre par la, que j'avais peur, oui je sais, je ris parfois quand j'ai peur), à trembler, mais aussi à me triturer les méninges pour essayer de deviner où l'intrigue nous mènera t'elle.


La série semble se découper sur une énigme fantastique par épisode en complément d'une intrigue plus générale & mystérieuse réunissant plusieurs protagonistes. L'histoire avance donc au fur et à mesure que notre petit groupe s'enfonce au plus profond de la jungle amazonienne.

Et justement, même si l'histoire de base peut rappeler des séries comme Supernatural (eux aussi sont à la base à la recherche de leur père et affronte des phénomènes ésotériques & paranormaux au fil des épisodes), l'environnement sombre & oppressant de la jungle, apporte donc un vrai atout à cette série.

vendredi 10 février 2012

Drama JP - Last Friends

J'ai eut une période où j'ai regardé pas mal de dramas japonais, je me permet donc de reprendre d'anciennes critiques "coups de coeur" que j'avais écrites il y a de ça quelques années sur un ancien blog.

Aujourd'hui je vous présente Last Friends. Ce drama japonais de 11 épisodes datant de 2008, pourrait être comparé aux mangas dits "Joseï" par son traitement sérieux, ses personnages, leurs relations...

La trame? Cela débute par deux amies qui se retrouvent par hasard après plusieurs années de séparation. L'une, Michiru, est en passe de s'installer avec son petit ami, espérant enfin être heureuse après une vie qui n'a pas toujours été tendre avec elle, alors que l'autre, Ruka, cherche à réaliser son rêve, devenir championne de Motocross. Cependant tout n'est pas si idéal que ça. Le petit ami s'avère immédiatement très jaloux et violent, et Ruka quant à elle, voit des sentiments, refoulés pour son amie, remonter à la surface... Cette histoire trace le destin de ces deux héroïnes ainsi que divers protagonistes qui se retrouveront alors réunis tous ensemble au sein d'une même colocation. Mais tous sont plus ou moins meurtris par la vie... sauront-ils trouver le bonheur auquels ils aspirent?

J'avais vraiment beaucoup aimé ce drama parce qu'il m'avait touché en plein cœur, retrouvant de nombreuses interrogations qui traversaient alors régulièrement mon esprit (l'amitié, la recherche de soi, l'amour...). Les acteurs sont vraiment très justes dans leur rôle et j'ai eut le très grand plaisir de retrouver quelques têtes connues comme Ueno Juri (alias Nodame de Nodame Cantabile, dans un rôle qui n'a absolument rien à voir avec celui de Nodame mais qui lui colle très bien à la peau), Nishikido Ryo (Ichi Rittoru no Namida),  Eita et Mizukawa Asami (souvenez-vous de notre couple des deux violonistes dans Nodame Cantabile). Dommage cependant que la série soit trop centrée sur Michiru et Ruka, j'aurai voulu en savoir plus sur le personnage joué par Mizukawa Asami (j'adore sa présence à l'écran).




Prisoner of Love, le magnifique opening interprété par Hikaru Utada

jeudi 9 février 2012

The Inbetweeners, l'anti Skins


The Inbetweeners est un petit bijou d'humour trash à l'anglaise assez méconnue.
Si vous aimez les teens movie comme American Pie et les séries anglaises, cette série est pour vous.

Résumé : Will McKenzie arrive dans une nouvelle école de banlieue, après avoir passé la majeure partie de ses études dans des écoles huppées. C'est le genre de gars à la fois timide et imbu de lui même. Bref il sait tout, parle beaucoup et saoule beaucoup aussi. Il arrive à se faire 3 amis : 
- Simon, le gentil de la bande, fou amoureux d'une amie d'enfance, qui à cause de cela, ne voit jamais toutes les belles opportunités amoureuses qui s'offrent à lui.
- Jay, l'obsédé de service, qui a tout fait, tout vu, mais purement mythoname et qui en fait manque totalement de confiance en lui.
- Neil, assez simplet, un sourire niais sur le visage en permanence et qui finalement, a la chance d'être heureux d'un rien.
La principale préoccupation de ces 4 zigotos, anti-héros par excellence, se faire des nanas. Sauf que hum... rien n'est gagné.

Cette série est purement une anti-Skins. La où dans Skins, on nous montre des jeunes qui ont la côte, arrivent à dépasser leurs limites, couchent, se saoulent, se droguent... et bien ici, c'est le contraire, ils s'imaginent être des "Skins", mais la route est difficile pour y arriver, et coucher, se saouler... n'est pas aussi simple que dans Skins. Et même si la série a un humour assez bas sous la ceinture, voire "pipi-caca" (pas grave, j'adore et certaines scènes sont hilarantes), ces adolescents deviennent touchants par leur côté immature.

Aujourd'hui la série s'est terminée sur 3 saisons de 6 épisodes chacunes et un film, sorti très récemment en France sous le nom "Les Boloss". A voir bien sur absolument en Version Originale.

Quelques vidéos :



 Ils adorent se charrier entre eux...




 Une petite touche de français




Et enfin la bande annonce du film en VOSTFR

mardi 7 février 2012

Smash - S01 E01 - Pilote



Cela fait déjà deux semaines que j'ai pu découvrir le pilote de Smash. Je n'ai, jusque là, pas réussi à me faire un avis bien tranché. En fait, je me suis lancé plutôt positive dans le visionnage de celui-ci parce que de nombreux sériphiles évoquait ce pilote comme un des meilleurs de la saison. Et finalement, celui-ci n'a pas eut un effet aussi positif que j'aurai pu l'escompter, pourtant il n'y a pas grand chose à lui reprocher à ce pilote.

Mais avant tout, un petit topo : Des artistes new yorkais aux égos parfois surdimensionnés, qu'ils soient compositeurs, paroliers, chanteurs, chorégraphes, s'unissent pour créer un spectacle musical à Broadway basé sur la vie de Marilyn Monroe. L'occasion de découvrir la mise en place et les coulisses d'un événement d'une telle ampleur, entre une productrice peu commode, une phase de castings compliquée où tous les coups sont permis, des répétitions harassantes... le parcours du combattant commence ! Synopsis © Allociné

En effet, comme le montre le preview des épisodes suivants à la fin de l'épisode, il semblerait que la série se concentre sur un vrai parcours du combattant de tout point de vue, voir de purs conflits. Des conflits entre les prétendantes au rôle, entre les créateurs/chorégraphes, conflits de producteurs et ce, que ce soit dans le cadre professionnel ou privé. En fait ce preview est limite trop révélateur et m'a un poil refroidi (peut être un preview promo pour la presse?)

Beaucoup de personnages sont présentés (et très bien interprétés), et je pense que cela va me nécessiter du temps pour accrocher et avoir envie de les retrouver. Point intéressant, partir de rien et nous montrer la construction du projet petit à petit (même si le pilote est plutôt dense et que tout s'enchaîne vite, mais je pense qu'ensuite le rythme sera ralenti), et les freins à la réussite de ce projet.


Au final, je pense que mon avis mitigé se tient à plusieurs choses :
- je l'ai regardé nourrie par l'enthousiasme général et forcément mes espoirs étaient trop hauts pour que j'apprécie totalement.
- Marilyn Monroe et l'ambiance Broadway ne sont pas des univers qui m'attirent à la base.
- De trop nombreux personnages & intrigues au sein d'un pilote trop bien rempli. Mais bon les scénaristes savent où ils vont, ils ont besoin de poser les bases de tous leurs pions.

Et donc à voir? Oui et ce, je pense, sur plusieurs épisodes pour mieux s'imprégner de chacun des personnages et du projet "Marylin" en lui même, d'autant plus que les chansons interprétées sont très belles et donne beaucoup de charme à la série.

mercredi 1 février 2012

Once Upon a Time


Mzelle coincoin est une fille.
Mzelle coincoin aime les grandes histoires d'amoûûûr,
Mzelle coincoin aime les contes de fées.
Et comme toute nana qui pète des pétales de roses et rote des arc-en-ciel, mzelle coincoin rêve du prince charmant.
Aussi en voyant la bande annonce de l'épisode 12 d'OUAT qui m'a fait frétiller du croupion d'impatience, (Carlyle mon amouuurrr) je me suis dit qu'il était quand même temps de vous parler de cette chouette série qu'est donc Once Upon A Time, et qui regroupe un peu tout ce qu'aime une fille fleur bleue qui se respecte.
(d’où le OUAT pour les intimes)

Pour vous appâter, commençons par quelques personnages:
Appât pour mâle en rut: Check.
Beau gosse: Check!
Méchante sexy; Check!
Je... Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! <3


Imaginez.
Imaginez un monde, ou TOUS les contes de fées de votre enfance, tous les personnages, d'Alladin à Blanche neige, en passant par Cendrillon, Jiminy Crikets, Pongo (oui le clebard là), Belle, Midas (le roi, pas les pneus) ou même le Chaperon rouge existeraient vraiment.
Imaginez maintenant qu'ils soient tous envoyés dans notre monde sans se souvenir de qui ils étaient suite à une malédiction?
Welcome to Story Brook et welcome in Once Upon a Time'stories !


Synopis:
De nos jours, dans une bourgade du Maine appelée Storybrooke, les contes de fées existent encore. C'est ce que va découvrir Emma, une jeune femme au passé trouble, embarquée dans un merveilleux et tragique voyage par le fils qu'elle a abandonné 10 ans plus tôt. Elle croisera sur son chemin la méchante Reine, qui n'est autre que l'impitoyable Maire de la ville, Blanche Neige, devenue la douce Mary Margaret Blanchard, Rumpelstilskin, transformé en impitoyable Mister Gold ou encore Jiminy Cricket, devenu le psy de la ville. Avec son arrivée, c'est l'espoir de toute une communauté amnésique qui renaît....

Pourquoi y'a une blondasse derrière mes barreaux, là?
Ça parait niais à lire comme cela, mais quand on sait que se sont les producteurs de Lost qui sont derrière, ça change un poil la donne.
Au gré des épisodes, en suivant Emma, et son fils Henry, nous voyageons entre notre monde et le monde merveilleux. Un monde de contes certes, mais qui n'a rien de féerique.
Sombre, cruel, subissant guerres et combats.
Les personnages sont loin de leur homologue de Disney, exit le "bisounours-land."
(Ça reste quand même grand publique hein?)

Rubby, le vilain chaperon rouge
Chaque passage de la vie "humaine", étant truffé de petits détails rappelant le personnage du conte (comme les pommes rouges sur le bureau du maire, etc..) on s'amuse vite à essayer d'en trouver d'autres).
Une petite pomme bien rouge et bien juteuse?
Point de personnage manichéen.
point de personnage ou tout blanc ou tout noirs mais que des zones de différents gris.
Chaque personnage qu'il soit "bon" ou "mauvais" a ses raisons et ses explications.
On en arrive vite a excuser ou prendre en pitié les "méchants" de l'histoire, blanche neige est loin d’être une gentille nana cucul la praline, Rumpelstilskin a un passif qui m'a grave foutu les boules, etc etc...
(Lana Parilla est absolument sublime.)

Vous l'aurez compris, je suis raide dingue de cette petite série (la présence de Robert Carlyle n'y est pas pour rien non plus, avouons-le)
Et comme rien ne vaut les images, voici directement le trailer: